En raison des perturbations importantes dues aux mouvement de protestation des lycéens contres la "réforme Darcos", certaines données et informations n'ont pas encore pu être recueillies.
Orane Leduc, Justine Peneau & Héléna Bourasseau
Où les rythmes nous guident ?
Notre projet tourne autour de la structure principale, appelée colonne vertébrale, d'où se détachent de modules qui semblent s'enfoncer dans le sol. Cette sorte de tunnel qui se prolonge sur la parcelle "repos" est un vrai cheminement visuel : imposant, ces arches resserrées ne permettent aucun passage.
Ainsi, la frustration du visiteur est telle qu'il est obligé de s'arrêter devant le puits qui bloque l'entrée et d'observer l'impact visuel que forment les trois planches de bois situées à l'intérieur du tunnel, devant la cave. Cette dernière est une sorte de pièce interdite en référence à la vie restreinte des moniales de l'époque.
On retrouve les mêmes couleurs sur les planches et les modules (piquets) de la parcelle repos, vers laquelle nous sommes menés par des piquets semblables qui bordent la grande allée.
Ainsi, le visiteur se dirige vers une aire de repos, avec des zones plus ou moins délimitées et propices au repos, à la contemplation, au pique-nique...
Il est important de signaler que sur la parcelle repos, les arches du tunnel s'espacent et s'agrandissent, cassant ainsi la densité du bas et la régularité du rythme et s'ouvrant sur l'infini, l'éternité.
On remarque le contraste de densité entre l'aménagement des deux parcelles (cave : minimalisme ; repos : éparpillement).
Ainsi, la frustration du visiteur est telle qu'il est obligé de s'arrêter devant le puits qui bloque l'entrée et d'observer l'impact visuel que forment les trois planches de bois situées à l'intérieur du tunnel, devant la cave. Cette dernière est une sorte de pièce interdite en référence à la vie restreinte des moniales de l'époque.
On retrouve les mêmes couleurs sur les planches et les modules (piquets) de la parcelle repos, vers laquelle nous sommes menés par des piquets semblables qui bordent la grande allée.
Ainsi, le visiteur se dirige vers une aire de repos, avec des zones plus ou moins délimitées et propices au repos, à la contemplation, au pique-nique...
Il est important de signaler que sur la parcelle repos, les arches du tunnel s'espacent et s'agrandissent, cassant ainsi la densité du bas et la régularité du rythme et s'ouvrant sur l'infini, l'éternité.
On remarque le contraste de densité entre l'aménagement des deux parcelles (cave : minimalisme ; repos : éparpillement).