- Prise en compte du paysage
- Efficacité du signal
- Incitation au repos, à la contemplation
- Dialogue avec l’abbaye
- Coup de cœur
groupe 1 [volutes]
groupe 2 [prairie fleurie]
groupe 3 [jardin mobile]
groupe 4 [spirituel]
groupe 5 [belvédère]
groupe 6 [silhouette fleur]
groupe 7 [le damier]
groupe 8 [l’eau]
groupe 9 [ondes]
groupe 10 [tunnel]
groupe 2 [prairie fleurie]
groupe 3 [jardin mobile]
groupe 4 [spirituel]
groupe 5 [belvédère]
groupe 6 [silhouette fleur]
groupe 7 [le damier]
groupe 8 [l’eau]
groupe 9 [ondes]
groupe 10 [tunnel]

Recueil l’adhésion (cumul de toutes les rubriques) :
- 74 occurences pour le groupe 3 [jardin mobile]
- 62 pour le groupe 8 [l’eau]
- 59 pour le groupe 5 [belvédère]
- 56 pour le groupe 7 [le damier]
- 15 occurences pour le groupe 1 [volutes]
- 15 pour le groupe 3 [jardin mobile]
- 14 pour le groupe 5 [belvédère]
Incitation au repos :
- 18 occurences pour le groupe 6 (erreur ici mais laquelle ?)
- 17 pour le groupe 3 [jardin mobile]
- 15 pour le groupe 6 [silhouette fleur]
- 20 occurences pour le groupe 4 [spirituel]
- 15 pour le groupe 3 [jardin mobile]
- 12 pour le groupe 1 [volutes]
- 16 occurences pour le groupe 3 [jardin mobile]
- 12 pour le groupe 8 [l’eau]
- 11 pour le groupe 5 [belvédère]
Le choix des élèves
On peut donc relever que le choix des élèves se porte avant tout sur le projet du groupe 3 [jardin mobile] : Motus.
Puis viennent dans un même rapport le groupe 8 [l’eau], le groupe 7 [le damier] et le groupe 5 [belvédère].
- projet du groupe 3 [jardin mobile] : Motus
- projet du groupe 8 [l’eau] : Retour aux sources
- projet du groupe 7 [le damier] : La règle du jeu
- projet du groupe 5 [belvédère] : Regarder au-delà
Le choix des enseignants
Le choix des enseignants se porte sur deux projets différents de ceux qu’ont retenus les élèves, sans hiérarchie entre les deux.
Projet du groupe 1 : E-volution
commentaire des enseignants :
Ce projet joue habilement avec le relief de la butte, recrée un aplat visuel dans la pente, perturbe volontairement la distance perspective par un jeux d’échelle.
Les haies en formes de volutes en s’insèrant peu à peu dans le relief jouent également avec le corps de visiteurs qui croient s’enfoncer dans le relief mais en fait, plus ils progressent, plus ils sont censés apparaître peu à peu au regard des autres.
Les haies en formes de volutes ont l’apparence d’un labyrinthe mais permettent une déambulation très ouverte.
La référence aux volutes des chapiteaux renaissance ou classique devient lisible par les visiteurs lorsqu’ils contemplent le jardin depuis le haut de la butte.
Le fort contraste entre le bas et le haut doit pouvoir être apprécié par les visiteurs qui arrivent sur une surface très libres de leurs mouvements — après avoir étés guidés par les haies —, très colorée — après avoir déambulés dans un espace monocolore, — très aéré — après avoir été plongés encadrés—.
Cette proposition, pour le visiteur, se lit du bas d’une certaine manière : « Tiens, il y a quelque chose à faire, mais quoi ? et du haut d’une autre manière : « Tiens, ce n’est pas ce que croyais ».
Cette proposition laisse ouverte n’importe quelle intervention plasticienne autonome dans la cave.
Cette proposition laisse ouverte toute possibilité sur le mobilier pour l'aire de repos
Cette proposition laisse très ouverte une transposition végétale des papiers déchirés utilisés sur la maquette pour l'aire de repos
Cette proposition implique de pérenniser l’aménagement du bas (haies et supports ?). Par contre l’aménagement du haut est facilement réversible.
Ce projet joue habilement avec le relief de la butte, recrée un aplat visuel dans la pente, perturbe volontairement la distance perspective par un jeux d’échelle.
Les haies en formes de volutes en s’insèrant peu à peu dans le relief jouent également avec le corps de visiteurs qui croient s’enfoncer dans le relief mais en fait, plus ils progressent, plus ils sont censés apparaître peu à peu au regard des autres.
Les haies en formes de volutes ont l’apparence d’un labyrinthe mais permettent une déambulation très ouverte.
La référence aux volutes des chapiteaux renaissance ou classique devient lisible par les visiteurs lorsqu’ils contemplent le jardin depuis le haut de la butte.
Le fort contraste entre le bas et le haut doit pouvoir être apprécié par les visiteurs qui arrivent sur une surface très libres de leurs mouvements — après avoir étés guidés par les haies —, très colorée — après avoir déambulés dans un espace monocolore, — très aéré — après avoir été plongés encadrés—.
Cette proposition, pour le visiteur, se lit du bas d’une certaine manière : « Tiens, il y a quelque chose à faire, mais quoi ? et du haut d’une autre manière : « Tiens, ce n’est pas ce que croyais ».
Cette proposition laisse ouverte n’importe quelle intervention plasticienne autonome dans la cave.
Cette proposition laisse ouverte toute possibilité sur le mobilier pour l'aire de repos
Cette proposition laisse très ouverte une transposition végétale des papiers déchirés utilisés sur la maquette pour l'aire de repos
Cette proposition implique de pérenniser l’aménagement du bas (haies et supports ?). Par contre l’aménagement du haut est facilement réversible.
Projet du groupe 9 : Au-delà des ondes
commentaire des enseignants :
Ce projet joue, jongle, perturbe, s’amuse des courbes du territoire de la butte.
Cette proposition est le fruit d’un concept clair, lisible par tous, et interprétable par tous.
Le concept : d’un point central, une diffusion. ......Ajouter la ponctuation, me semble t-il
A condition toutefois que le projet soit repensé avec la grotte comme point central (et non pas le puits)
L'exploitation de la cave (jeu de réflexion d'une goutte d'eau sur une surface liquide) est un élément cohérent et complémentaire de la proposition extérieure. Elle peut attirer, interroger,amuser un public d'âge varié.
Si l'interprétation des ondes peut être réalisée par des volumes de terre, elle peut l'être aussi par du minéral et (ou)
du végétal.
Des ondes en terre, sur l'aire de repos, ouvriraient des possibilités multiples d'intégration du mobilier.
Un autre point fort de cette proposition est la diversité des interprétations possibles:
- source d’eau, source de vie
- point d’eau, construction humaine
- de la grotte de l’anachorète à l’abbaye institutionnelle
- de l’individu à la collectivité
- d’une idée à sa diffusion
- l’individu enfermé au centre de ses clôtures
- ...
Ce projet est d’autre part facilement réversible.
Ce projet joue, jongle, perturbe, s’amuse des courbes du territoire de la butte.
Cette proposition est le fruit d’un concept clair, lisible par tous, et interprétable par tous.
Le concept : d’un point central, une diffusion. ......Ajouter la ponctuation, me semble t-il
A condition toutefois que le projet soit repensé avec la grotte comme point central (et non pas le puits)
L'exploitation de la cave (jeu de réflexion d'une goutte d'eau sur une surface liquide) est un élément cohérent et complémentaire de la proposition extérieure. Elle peut attirer, interroger,amuser un public d'âge varié.
Si l'interprétation des ondes peut être réalisée par des volumes de terre, elle peut l'être aussi par du minéral et (ou)
du végétal.
Des ondes en terre, sur l'aire de repos, ouvriraient des possibilités multiples d'intégration du mobilier.
Un autre point fort de cette proposition est la diversité des interprétations possibles:
- source d’eau, source de vie
- point d’eau, construction humaine
- de la grotte de l’anachorète à l’abbaye institutionnelle
- de l’individu à la collectivité
- d’une idée à sa diffusion
- l’individu enfermé au centre de ses clôtures
- ...
Ce projet est d’autre part facilement réversible.